À 51 ans, Marc Mengal, dirigeant d’entreprise, vit depuis peu le plaisir de posséder une maison au soleil. Avec son épouse, ils se sont laissé tenter, alors que rien ne les destinait à investir dans une seconde résidence en Espagne.
Comment est venu ce désir d’acheter une seconde résidence?
Je n’avais pas du tout de projet immobilier à l’étranger compte tenu du coût. Mais en mai 2016, des amis ont acheté un superbe appartement en Espagne. Le prix m’a impressionné, l’idée a commencé à germer. J’ai regardé les avantages : 2h 15 de vol, atteignable en voiture si nécessaire, un lieu de résidence à 40 min de l’aéroport d’Alicante, proche de la mer… La Costa Blanca nous convenait. Nous aurons terminé de payer notre maison en Belgique dans 2 ans. En considérant le budget que nous consacrions chaque année à nos voyages, la chose était tentante. D’autant que les taux
d’emprunt étaient très avantageux.
Qu’est-ce qui vous a séduit dans ce projet ?
Malgré le fait que la maison se tr ouvait dans le domaine d’un golf, sport que je pratique, ce n’était pas un critère déterminant. L’endroit présentait le meilleur rapport/qualité prix/climat en Espagne. J’ai recherché le bon partenaire pour s’occuper de tout.
En effet, notre maison en Espagne nous permet de vivre d’agréables vacances toute l’année mais nous la louons durant les mois d’été. De quoi couvrir les frais. Le fait de partir au même endr oit chaque fois nous convient très bien car, en fait, nous ne sommes
pas de grands voyageurs.
Quel est le conseil principal que vous pourriez donner aux indécis ?
Se rendre absolument sur place car vous vous créez des opportunités. Des photos alléchantes ne suffisent pas. Nous sommes partis durant 3 jours, accueillis par l’agence, pour dénicher la maison de nos rêves. Nous avons eu beaucoup de chance car une maison en construction s’est libérée avec un terrain de plus de 4 ares, une belle exposition, une piscine privée… On ne pouvait pas rêver mieux pour le prix qu’on
pouvait mettre. Le lendemain, on signait le contrat d’agence. Le 3e jour, on allait chez le notaire espagnol pour préparer le dossier. On a ensuite donné procuration à un bureau d’avocats sur place pour suivre le dossier avec le notaire, et ce sont eux qui se sont oc –
cupé de tout par la suite : papiers administratifs, N° de non-résident, signature de l’acte… On était tellement contents et rassurés que nous avons acheté tous les meubles de la maison dans la foulée ! En Belgique, nous avons dû envoyer une copie de notr e contrat de mariage, ce dont s’est chargé notre notaire. Tout s’est passé tellement facilement que j’ai l’impr ession d’avoir acheté à 50 km de chez moi.
Que ressentez-vous aujourd’hui en tant que propriétaire ?
Nous avons bien pris nos marques, repéré les endroits qui nous plaisent, les bonnes adresses. On se passe les bonnes infos entre Belges. Nous qui avions l’habitude de partir en vacances dans des hôtels all inclusive, nous préférons de très loin avoir notre logement. C’était le bon moment.
A quoi faut-il faire attention quand vous achetez à l’étranger? Retrouvez tous nos conseils.